Ou pourquoi tout se tient:
le sol cultivé correctement pour préserver sa microbiologie,
et qui va accueillir les céréales - anciennes et adaptées à chaque terroir, plus saines et nourrissantes bien que plus difficiles à travailler;
le meunier, qui broie les graines à la meule de pierre pour préserver les huiles essentielles et les arômes de la plante;
le boulanger qui panifie à l’ancienne, lentement, avec effort, et dont la connaissance du céréalier et le savoir faire lui permettent de travailler des variétés de farines meilleures mais exigeantes;
Le consommacteur éclairé, qui va favoriser cette filière de haute qualité.
Une belle histoire de circuits courts et enracinés. Une boucle qui ne marche que si elle est … bouclée!
Pour aller plus loin:
Nicolas Supiot et ses Jardins de Siloe
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