Les Effets Cachés des Vaccins COVID - UER 2025 Castres
- Menhir Subtil

- il y a 15 heures
- 2 min de lecture

L'Université d'Eté de la Résistance (UER) 2025 a publié ce témoignage poignant, et qui se révèlera utile à la fois pour les victimes qui se retrouveront en elle, ainsi que pour les personnes encore dubitatives quant aux effets secondaires délétères des "vaccins" anti-COVID.
Une femme auparavant sportive raconte la dégradation brutale de sa santé après vaccination COVID : douleurs chroniques, trouble digestifs graves (perte de 22 kg), problèmes neurologiques, maladie auto-immune systémique, errance médicale et absence de reconnaissance officielle de ses souffrances.
Points clés:
Analyses de médecins et chercheurs indépendants (Jean-Marc Sabatier, Benoît Ochs)
Biologie et risques des vaccins à ARNm :
Toxicité de la protéine Spike qui induirait inflammations systémiques et dérèglement immunitaire.
Risque de thromboses, caillots et phénomènes de coagulation anormale (fibrine blanche).
Problèmes liés à la bio-distribution incontrôlée des nanoparticules lipidiques et de l’ARNm dans le corps.
Risque de rétro-transcription et insertion de l’ARNm synthétique dans le génome humain.
Production prolongée et imprévisible de protéine Spike.
Possibilité de création de « protéines hors-cibles ».
Traitements envisagés :
N-Acétylcystéine (NAC) en tant qu’antidote potentiel pour dénaturer la protéine Spike.
Usage de l’ivermectine et d’autres antiparasitaires.
Approches complémentaires : vitamine C, quercétine, bleu de méthylène.
Nécessité d’analyses spécifiques pour quantifier la protéine Spike.
Enjeux sanitaires élargis :
Signalement d’une augmentation de cancers et de maladies chroniques après vaccination.
Remise en cause de la sécurité des vaccins pédiatriques et du calendrier vaccinal classique.
Extension de la technologie ARNm aux animaux (volailles) et risques potentiels pour l’humain.
Difficultés pour faire reconnaître les effets secondaires et témoignages de censure scientifique.
Plaidoyer pour la reconnaissance des effets secondaires, la liberté thérapeutique et le soutien aux médias indépendants, jugés essentiels pour une information non biaisée et la poursuite de la recherche sur ces enjeux de santé publique.
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