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Zones à Faibles Émissions (ZFE) : une aberration dans la plupart des cas


" Bien que cette situation risque de donner des sueurs froides à nombre d'écologistes, les chiffres les plus récents partagés par l'organisation Santé Publique France sont pourtant clairs : on observe une nette amelioration de la qualité de l’air en France depuis le début des années 2000.


Que ce soit en termes de particules ou d'oxyde d'azote, la concentration atmosphérique de ces polluants sur l'ensemble du territoire français a été réduite de moitié durant cette période. En ce qui concerne le dioxyde de soufre, c'est même une baisse de 85% qui été observée.


Mieux, en zoomant sur les seules agglomérations, l'on s'aperçoit que les résultats sont du même acabit. Ainsi l'Île-de-France enregistrait des baisses d'émissions polluantes entre 2000 et 2018 variant de 22 % à 56 % selon les localisations et les polluants considérés.


Et pourtant. 17 septembre 2020 : le gouvernement français publiait un décret contraignant les municipalités n'ayant pas respecté au moins une des valeurs limites relatives au dioxyde d’azote (N02), ou aux particules mentionnées dans le code de l’environnement, à instaurer des zones à faibles émissions dans leurs enceintes. "


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